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Frappé du sceau de "l’impressionnisme contemporain" Gérard Le Roux s'inspire largement de l'évènementiel historique et international pour exprimer son art. Ainsi, pour le 40ème anniversaire du débarquement allié en Normandie, il fut le seul artiste sollicité par le Président de la République François Mitterrand afin d'immortaliser par une œuvre "le jour le plus long". L'original de cette toile fut remis au Palais de l'Élysée et chacun des cinq chefs d'État présents aux cérémonies en reçut une reproduction originale. L'artiste dénommé "peintre des chefs d'État" acquit alors une renommée mondiale.
Affectionnant particulièrement les Etats-Unis, Gérard Le Roux y installe son atelier fin 1984. Pendant sept ans, il travaillera au 121 Green Street dans le quartier de Soho à New York. S’ensuit une longue série d’exposition à New York (galerie Thierry Gelomini), à Washington (Alex Gallery) et en Europe.
En 1985, il débute l’une de ses œuvres majeures : une toile de six mètres par quatre, célébrant les deux cents ans de la Révolution française. Cette toile géante sera exposée au Lincoln Center à New York entre deux toiles de Chagall puis place de la Bastille à Paris lors des festivités des 14 et 15 juillet 1989.
En 1988, il est chargé par la banque de France de créer les maquettes des billets de 50 et 500 francs aux effigies de Saint-Exupéry et Pierre et Marie Curie.C’est dans les années 80 aussi, à la suite d’une dégustation de fruits, il décide de se lancer dans la sculpture de fruits géants en bronze et en marbre. Il va puiser son inspiration au cœur de la Toscane à Pietrasanta. C’est là que nait le « Verger de Le Roux ». Il y travaille dans des ateliers monumentaux, aux côtés de Botero, Folon, Arman.
En 1989, le ministre de l’Intérieur Américain l’invite officiellement à peindre aux pieds de la statue de la Liberté afin d’immortaliser l’œuvre de Bartoldi et de Gustave Eiffel sur une toile de sept mètres sur cinq. Cette œuvre figurant les tours de Manhattan avec en premier plan la statue de la Liberté, trouvera sa place définitive au musée national de la Flamme, à Liberty Island, et fait désormais partie de la collection permanente du patrimoine culturel Américain.
En juin 1997, René Monory, alors président du Sénat, invite Gérard à présenter une rétrospective de ses œuvres au Palais de l’Orangerie du Luxembourg. Sur 1000 mètres carrés sont exposés 120 tableaux et 10 sculptures monumentales.
La même année, il réalise un portrait de Lady Diana qui lui avait rendu visite à son atelier de Saint-Tropez, deux mois avant le fatal accident. Conformément à la demande de Charles Spencer, frère de Diana, cette œuvre sera prochainement vendue aux enchères par Sotheby’s à New York (valeur estimée à 2 500 000 dollars) au profit de la fondation créée à la mémoire de Lady Diana pour les enfants déshérités.
Gérard Le Roux aura été marqué par sa résidence à New York. Au passage du Millénium, il réalise une pomme géante en bronze pour en faire don à la ville, 53 tonnes, 20 mètres de haut sur 15 de large, elle sera la plus imposante sculpture après la statue de la Liberté et devrait trouver sa place à Central Park.
Diffusée dans le monde entier, l’œuvre picturale et sculpturale de Gérard Le Roux est celle d’un grand artiste de ces dernières décennies et est prisée par les grands collectionneurs qu’il reçoit dans son escale tropézienne.









